Aujourd’hui, qui pourrait se présenter comme l’héritier des artistes présentés dans cette capsule ? Ils sont plusieurs à pouvoir le faire, sans aucun doute, mais l’un d’entre eux est à la croisée de plusieurs chemins : Olafur Eliasson. Avec lui, le ressenti du spectateur, tout ce qui tient en fait aux sens, est au cœur de l’art. Chacune de ses œuvres est un voyage dont on revient différent.
Olafur Eliasson, New York City Waterfalls (« Cascades à New York »),
2008, installation, Pont de Brooklyn, New York © ADAGP, Paris 2021. Photo : Wally Gobetz, CC BY-NC-ND 2.0
Olafur Eliasson, Weather project (« Projet Météo »),
2003, installation, Tate Modern, Londres. © ADAGP, Paris 2021. Photo : wonderferret, CC BY 2.0
Olafur Eliasson, Eye see you,
2006, installation prévues pour les vitrines des boutiques Louis Vuitton © ADAGP, Paris 2021. Photo : samu szemerey, CC BY-NC-ND 2.0
Avec ses installations, Olafur Eliasson travaille sur le ressenti du spectateur, dans la lignée du Land Art, de l’Art minimal et de l’Arte povera.