L’artiste Hokusai est l’un des plus célèbres maîtres de cette technique. Parmi ses très nombreux chefs-d’œuvre, il y en a un pour lequel il est particulièrement célèbre aujourd’hui : sa série des 36 vues du Mont Fuji, une montagne sacrée du Japon.
Grâce à la technique de l’estampe, simple et peu coûteuse, ces œuvres sont diffusées à grande échelle : elles inspirent même des artistes européens !
Hokusai, célèbre maître de l’estampe, a laissé de nombreux chefs-d’œuvre dont la fameuse série des 36 vues du Mont Fuji.
S’il y a bien une technique qui connaît un grand succès à l’époque d’Edo, c’est celle de l’estampe !
Utilisant la gravure sur bois et l’impression en plusieurs couleurs, deux inventions chinoises, il faut généralement plusieurs personnes pour la réaliser.
L’époque d’Edo est celle du développement de l’estampe.
Il faut dire que depuis plusieurs siècles, le pays est déchiré par des affrontements entre différents seigneurs, ceux que l’on nomme les daimyôs.Ce sont eux qui envoient les samouraïs se battre.
Pourtant, les armures ne disparaissent pas, loin de là ! Grâce au talent des artisans qui les conçoivent, elles deviennent même de plus en plus spectaculaires.
Désormais, leurs propriétaires les exposent chez eux comme des œuvres d’art pour montrer leur richesse et leur prestige.
Lorsque la paix s’installe, les armures deviennent d’impressionnant objets d’arts qui montrent la richesse de leurs propriétaires.
Edo, lieu de résidence du shôgun, devient la capitale officielle du Japon au 19e siècle sous le nom de Tôkyô.
Autrefois, le dirigeant du Japon était appelé shôgun. L’empereur quant à lui n’avait qu’un rôle symbolique et religieux.
Lorsqu’il accède au pouvoir en 1603, le shôgun Tokugawa Ieyasu décide de ne pas résider à Kyôto, la capitale. Au lieu de cela, il installe le centre du pouvoir politique dans un petit village en bord de mer : Edo.
Rebaptisée Tôkyô au 19e siècle, c’est aujourd’hui la ville la plus peuplée au monde !
En 1603, le shôgun s’installe dans un petit village appelé Edo.
texte de résumé
Dans sa nouvelle capitale, Angkor Thom, Jayavarman VII fait construire le Bayon, un monument particulièrement impressionnant . Et pour cause : ce temple bouddhique ne compte pas moins de 59 tours décorées de visages !
Mais qui représentent-elles ? Toutes les hypothèses ont été émises : des têtes de bouddhas, de bodhisattvas, ou même des portraits de Jayavarman VII veillant sur son empire. Le mystère demeure…
À Angkor Thom, Jayavarman VII fait construire l’impressionnant temple du Bayon, avec ses 59 tours décorées de visages sculptés.
Au début du 13e siècle, Angkor connaît son dernier grand roi avant que l’empire ne commence progressivement à mourir : Jayavarman VII.
Jayavarman VII, dernier grand roi khmer, fait du bouddhisme la religion d’État et construit la ville d’Angkor Thom.
L’hindouisme, religion née en Inde, possède trois dieux principaux :
Brahma, Shiva et Vishnu sont les principaux dieux de l’hindouisme.
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